Merci aux 217.000 visiteurs de MonPuteaux en 2014
mercredi 31 décembre 2014
MERCI aux 217.000 personnes (visiteurs uniques) qui ont consulté MonPuteaux en 2014 ! J'espère vous revoir en 2015 :)
(source statistiques : Analytics de Google)
MERCI aux 217.000 personnes (visiteurs uniques) qui ont consulté MonPuteaux en 2014 ! J'espère vous revoir en 2015 :)
(source statistiques : Analytics de Google)
L'année 2014 a été riche en évènements à Puteaux. Jusqu'au 31 décembre, je vais publier une retrospective, mois après mois, de l'actualité putéolienne. Voici ce qui s'est passé dans notre ville en septembre et octobre derniers :
En novembre, l'hebdomadaire L'Express sort un numéro spécial sur Puteaux. "Le système Ceccaldi-Raynaud. Une concentration extrême du pouvoir. L'irrésistible montée du fils, Vincent Franchi. Incertitudes autour de la Défense", titre le magazine :
Les fêtes de fin de l'année commencent. La ville de Puteaux consacre 4 millions d'euros entre les illuminations, la patinoire installée devant l'Hôtel-de-ville, les somptueuses réceptions du nouvel an et les cadeaux par milliers...
En consultant une étude sur le coût de production des logements locatifs sociaux, je découvre que, tout compris, le coût moyen pour réaliser un logement est de 140.000 euros. Pour ses festivités de fin d'année et du nouvel an, Puteaux va donc brûler l'équivalent de 30 logements sociaux.
En novembre, une pétition pour demander la réouverture de la grille sur l'île de Puteaux côté pont de Neuilly est lancée sur le site Change.org. Elle recueille plusieurs centaines de signatures en quelques jours.
Le maire de Neuilly proteste contre cette fermeture unilatérale.
"Cette décision non justifiée est très préjudiciable à tous ceux qui fréquentent l'île (..). Le préfet a été saisi afin d'obtenir un retour à une liberté de circulation", annonce la municipalité de Neuilly.
En décembre, le préfet des Hauts-de-Seine déclare illégal l'arrêté du maire de Puteaux.
En ce dernier mois de l'année, le clientélisme du maire bat son plein :
25.000 cartes de voeux, à 5 euros pièce, sont distribuées dans toutes les boites aux lettres. Il s'agit d'une petite maison en bois à monter, qui a sans doute fait très plaisir aux familles mal logées.
Et le maire fait aussi plaisir aux personnes âgées : elle leur a distribué des milliers d'aspirateurs Hoover. Aussitôt reçus, aussitôt donnés aux petits enfants ou revendus sur le site boncoin.fr !
Et c'est ainsi que cette année 2014 se termine à Puteaux : dans une grande gabegie d'argent public...
L'année 2014 a été riche en évènements à Puteaux. Jusqu'au 31 décembre, je vais publier une retrospective, mois après mois, de l'actualité putéolienne. Voici ce qui s'est passé dans notre ville en septembre et octobre derniers :
En septembre, le maire annule une séance du conseil municipal parce que je voulais filmer la réunion comme la loi l'autorise. Quand le maire voit ma caméra, il me demande de l'éteindre, puis menace d'envoyer la police municipale, j'imagine pour me prendre mon appareil. Etant dans mon droit, je refuse d'éteindre ma caméra. Le maire décide alors de ne pas ouvrir la séance du conseil. Les élus sont reconvoqués la semaine suivante.
Quelques jours plus tard, le maire signe un arrêté pour limiter la présence des caméras dans la salle du conseil. Un plan est même joint à l'arrêté : les caméras pourront être disposés dans la salle, mais ne pourront filmer les élus que ... de dos...
Et pour m'empêcher de brancher ma caméra, le maire fait poser des caches sur les prises électriques de la salle du conseil :
En octobre, le maire décide la fermeture de l'accès à l'île de Puteaux depuis le pont de Neuilly :
Résultat : les promeneurs et sportifs qui veulent accéder au parc doivent faire un détour de 2 km sur les quais et passer par le pont de Puteaux, ou bien - pour les plus aventuriers - grimper au-dessus des grilles, au risque de se blesser.
Comme Joëlle Ceccaldi, Eric Césari, le président de l'intercommunalité de Puteaux-Courbevoie, ne veut pas non plus de caméra :
Lors du conseil communautaire de Puteaux-Courbevoie, vendredi 10 octobre 2014, j'ai installé ma caméra sur mon bureau pour filmer la séance comme la loi le permet. Mais cela déplait au président du conseil, l'UMP Eric Césari, qui vient d'être mis en examen dans l'affaire Bygmalion. La veille, celui-ci a signé un arrêté interdisant la présence des caméras "à plus de 90 cm des murs" de la salle des séances. Comme je siège au milieu de la salle, ma caméra est hors limite !
A SUIVRE... (NOVEMBRE - DÉCEMBRE) ...
L'année 2014 a été riche en évènements à Puteaux. Jusqu'au 31 décembre, je vais publier une retrospective, mois après mois, de l'actualité putéolienne. Voici ce qui s'est passé dans notre ville en juillet et août derniers :
En juillet, Eric Césari, président UMP de l'intercommunalité de Puteaux-Courbevoie, est licencié pour "faute grave" par la direction de son parti, suite à l'affaire Bygmalion.
La majorité au conseil municipal de Puteaux du 3 juillet, attribue le marché du chauffage urbain du nouveau quartier des Bergères est confié au Sicudef (Syndicat mixte de chauffage urbain de la Défense), autrement dit à la société de chauffage Enertherm dont les chaufferies fonctionnent au fioul et au gaz !
La ZAC des Bergères est pourtant présentée depuis le début comme un "éco-quartier".
Le chauffage et l'eau chaude des 182.000 m2 de logements, de commerces et d'équipements publics prévus aux Bergères ne seront donc en rien "écologiques", ni même économiques.
En août, la ville achète des cartables pour tous les enfants scolarisés de la commune. Le cartable est rose pour les filles et bleu pour les garçons... les couleurs de la Manif pour tous. Cette décision fait le buzz sur le net.
La mairie de Puteaux publie en plein mois d'août des annonces d'emploi : elle recherche un nouveau directeur pour son conservatoire. Ce ne sera jamais que le 4e en 3 ans ! La ville recrute également un « conseiller aux études » qui fera office de directeur adjoint. Les 2 actuels co-directeurs sont donc remplacés, 1 an seulement après l'inauguration d’un nouvel équipement de 50 millions d’euros.
A SUIVRE (SEPTEMBRE-OCTOBRE 2014)...