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Plagiat et mensonge de la municipalité de Puteaux sur le projet de passerelle

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Le projet de passerelle entre la ville et l'île de Puteaux est celle d'un plagiat et d'un mensonge de la majorité municipale. Le plagiat d'une idée qui n'est pas la sienne et le mensonge d'une "passerelle pour piétons et cyclistes" qui sera en réalité interdite aux vélos.

Ce plagiat et ce mensonge s'étalent dans le magazine "Puteaux Infos" du mois de novembre. La municipalité présente son projet sur 2 pages. A bien y regarder, le vocabulaire employé et le projet tel qu'il est présenté est une copie de notre projet "Puteaux pour vous" pour l'élection municipale de 2014.

A vous de juger. Il suffit de regarder les 2 doubles plages ci-dessous.

La 1ère image est tirée de notre journal de campagne "Puteaux pour vous" publiée en 2014. La seconde est tirée du "Puteaux infos" de novembre 2018 distribuée dans votre boite aux lettres (cliquez dessus pour les voir en grand).Ppv

Puteauxinfos

Pour nous, le principal est que ce projet de passerelle se réalise. La majorité municipale peut bien récupérer nos idées et nous plagier. Nous y voyons la confirmation de l'utilité de notre action en faveur de tous les habitants de Puteaux. Mais au moins que la mairie nous copie correctement : notre passerelle, pour ne pas être qu'un gadget, devait accueillir les piétons ET les cyclistes, et devenir le point d'accès d'un réseau de pistes cyclables. Ce n'est pas le cas ici : la passerelle sera interdite aux vélos, aucune piste cyclable n'est prévue et la ville de Puteaux fait la chasse aux 2 roues.
Christophe Grébert


La maire de Puteaux manque de politesse en convoquant le conseil municipal au dernier moment

ConseilLors du conseil municipal de Puteaux, lundi 5 mars, j'ai une nouvelle fois demandé à la maire de nous prévenir un peu plus tôt lorsqu'elle organise un conseil municipal.

Pour cette séance, nous avons été prévenus par un courriel envoyé à 22h30 le mardi 27 février, moins d'une semaine avant et en pleines vacances scolaires. Résultat : des élus étaient absents et d'autres n'ont pas eu matériellement le temps de préparer ce conseil.

En séance, Joëlle Ceccaldi-Raynaud affirme que la loi lui impose de convoquer le conseil "5 jours francs" avant sa tenue, dit-elle. En fait, la loi lui impose un délai minimum de 5 jours francs. Il s'agit uniquement d'un délai minimum et rien ne l'empêche de prévenir les élus avant. "C'est une question de politesse, pas de loi", je lui dis :

En fait, la plupart des maires, plus respectueux du travail des conseillers municipaux, établissent un calendrier annuel ou semestriel des séances du conseil municipal. C'est le cas par exemple de la ville de Roubaix (extrait du site de Roubaix ci-dessous). C'est une question de politesse vis-à-vis des élus du conseil municipal qui, pour la plupart, sont bénévoles et ont un travail et pour certains des enfants. C'est très difficile de s'organiser lorsqu'on apprend seulement 5 jours avant qu'on à 300 pages à lire, des questions à rédiger et toute une soirée bloquée.

Ajoutons bien entendu que les élus de la majorité connaissent la date du conseil avant nous. Il n'y a que les élus de l'opposition qui sont ainsi pénalisés.

Roubaix