Vos questions au maire de Puteaux, pour le conseil municipal du 13 décembre 2018
Nouvelle censure de l'opposition au conseil municipal de Puteaux

STOP aux augmentations systématiques des taxes et des impôts locaux à Puteaux

IMG_9420Lors du conseil municipal de Puteaux, jeudi 13 décembre, je demanderai à la majorité d'arrêter d'augmenter systématiquement chaque année les taxes et impôts locaux. Je demanderai aussi que les tarifs des services municipaux (piscine, palais de la culture, conservatoire...) restent stables en 2019.

Voici le texte de mon intervention :

En avril dernier, nous avons alerté sur le fait que la taxe d’habitation et la taxe foncière de Puteaux allaient encore augmenter de 500.000 euros cette année, soit une hausse moyenne des prélèvements de 23 euros par famille putéolienne.
Ce mois-ci (en décembre), nous avons demandé aux Putéoliens, qui ont reçu leurs avis d’impôts, comment avait effectivement évolué leurs taxes locale cette année. Plusieurs nous disent qu’ils doivent payer 5 euros, 15 euros, 50 euros et même l’un nous dit payer 250 euros de plus, pour la seule taxe d’habitation.
Il n’est pas normal que dans une ville aussi riche que Puteaux qui dépense sans compter, qui gaspille tant, on demande en même temps aux habitants - mais pas seulement : les commerçants, les artisans, les entrepreneurs sont aussi frappés - de supporter année après année des augmentations systématiques des impôts et des taxes locales.
A l’approche du vote du budget 2019 de la ville de Puteaux, nous appelons la majorité municipale à cesser cette politique d’augmentation systématiques des taxes et des impôts.
Pour 2019, nous appelons à une baisse de toutes les taxes locales fixées par la municipalité. Nous appelons aussi à ce qu’aucun tarif (comme à la piscine, au palais de la culture ou au conservatoire de Puteaux) n’augmente.
Si des économies doivent être faites, nous proposons de réduire d’autant le budget du service communication de la ville et celui du cabinet du maire, ce qui représente une marge de plusieurs millions d’euros.

Christophe Grébert

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