Législatives 2012 à Puteaux-Neuilly : Jean-Christophe Fromantin met les points sur Lepidi
mercredi 06 juin 2012
La campagne législative à Neuilly/Puteaux se tend à droite. Dans un communiqué, Jean-Christophe Fromantin répond aux attaques répétées de Bernard Lepidi. Ce dernier, soutenu par le maire de Puteaux Joëlle Ceccaldi, a accusé le maire de Neuilly d'être de gauche et d'avoir voté François Hollande au second tour de la présidentielle. Jean-Christophe Fromantin dément et rappelle ses différents soutiens à droite, comme Patrick Devedjian et Jean-Louis Borloo :
La campagne « d’Union de la Droite et du Centre » que je mène depuis quelques semaines est parfaitement coordonnée avec l’ensemble des formations politiques de la Droite et du Centre.
Elle est en droite ligne avec mon soutien sans équivoque à Nicolas Sarkozy, dès avant le 1er tour des élections présidentielles, comme avec l’indépendance que je mets au service des idées.
C’est dans cet esprit de rassemblement que l’UMP a choisi de n’investir personne dans la 6ème circonscription des Hauts-de-Seine ; que Patrick DEVEDJIAN, Président UMP du Conseil général ou Jacques GAUTIER, Sénateur UMP et Président des Maires des Hauts-de-Seine, sont mobilisés autour de ma candidature ; que Roger KAROUTCHI, Secrétaire départemental de l’UMP, souhaite « la victoire de cette candidature d’union » (Le Parisien du 30 mai) ; que Jean-Louis BORLOO, président du PARTI RADICAL et Hervé MARSEILLE, Secrétaire national du NOUVEAU CENTRE m’apportent leur soutien officiel.
Cette mise au point est nécessaire compte-tenu des propos mensongers d’autres candidats à mon égard, ouvrant une division à droite, et laissant croire qu’ils seraient soutenus par ces grandes formations politiques.
Le contexte politique et les enjeux méritent plus que jamais un rassemblement, des convictions et un projet partagé.
Jean-Christophe Fromantin,
Maire de Neuilly-sur-Seine
Candidat d’Union de la Droite et du Centre
Initiée par Joëlle Ceccaldi-Raynaud, cette guerre des droites laissera sans doute des traces. Le maire de Puteaux se met à dos son collègue de Neuilly, mais aussi tous ceux qui, au sein de la droite républicaine, souhaitent un renouvellement des pratiques politiques dans les Hauts-de-Seine.
Christophe Grébert