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"Crise : le cas unique de Puteaux" sur Rue89.com

Rue89_logo Alors qu'en raison de la crise, toutes les collectivités territoriales -régions, départements et communes- font des économies sur les fêtes de fin d'année, la ville de Puteaux reste un "cas unique", selon le site d'actualité Rue89 :

"(..) Dans ce paysage de désolation festive, une ville brille toujours par le faste des évènements. A Puteaux (Hauts-de-Seine), ville de 42 000 habitants dirigée par Joëlle Ceccaldi-Raynaud (UMP), les décorations de Noël coûtent, cette année comme les précédentes, 1 million d’euros.

Sans compter les 900 000 euros pour l’animation Puteaux en neige, qui offre pendant deux semaines deux patinoires et quelques autres activités.

Les cérémonies pour les personnalités ont tout de même été annulées. Seule restera la soirée pour le personnel municipal: cette année, spectacle Buffalo Bill à Disney Village, pour un coût total de 84 000 euros.

La mairie veut tout de même faire preuve de bonne volonté: Puteaux en neige aurait dû coûter 1 million d’euros, mais cette année les petits Putéoliens ne glisseront pas sur de la neige importée des Alpes. Ils devront se contenter de neige artificielle.

Pour Christophe Grébert, conseiller municipal de Puteaux (Modem) et célèbre blogueur, "le maire réduit à la marge, une économie de 100 000 euros sur un million, ce n’est pas grand-chose. On est dans la gabegie".

Sans compter le Monopoly à l’effigie de Puteaux, lancé le 16 décembre. La mairie y a investi 83 300 euros, et y laissera des plumes puisqu’elle n’en offre à la vente que 2000 exemplaires à 32 euros pièce (..)".

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