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avril 2007

Les Ceccaldi-Raynaud, père et fille, condamnés en appel pour diffamation homophobe

Joëlle et Charles Ceccaldi Raynaud ont été condamnés pour diffamation par la Cour d'appel de Versailles. Celle-ci a confirmé cet après-midi le jugement du tribunal correctionnel de Nanterre, qui avait été rendu le 5 septembre 2006 et contre lequel les 2 élus avaient fait appel. La député-maire UMP de Puteaux et le conseiller général UMP de Puteaux devront payer chacun 2.500 euros d'amende et solidairement 3.000 euros de dommages et intérêts à Christophe Grébert pour avoir insinué que le blogueur et militant socialiste avait des "penchants pédophiles".
C'est la première fois que les Ceccaldi sont condamnés pour diffamation par une Cour d'appel. Ils ont encore la possibilité de se pourvoir en cassation. Leur avocat n'était pas à l'audience cet après-midi.
Les frais de défense des Ceccaldi sont pris en charge par la municipalité de Puteaux. En revanche, les amendes et les dommages devront être payés par les condamnés.

Ces accusations homophobes ont été lancées par la suppléante de Nicolas Sarlozy à l'Assemblée nationale. Celui-ci, jusqu'ici totalement siliencieux, va-t-il réagir ?
Cette décision de justice est une nouvelle victoire que je dédie aux victimes du système Ceccaldi. Cette condamnation est aussi un avertissement pour tous ces élus qui ne respectent pas les règles communes.
Christophe Grébert

TOUT SUR L'AFFAIRE GREBERT CONTRE CECCALDI-RAYNAUD

UNE DEPECHE DE L'AFP SUR LE SITE DU MONDE


Présidentielle 2007 : électeurs putéoliens de Royal et Bayrou, discutons ensemble

Affiche2tSégolène Royal a proposé un débat public à François Bayrou. Celui-ci a accepté. Même si l'organisation de cette rencontre au sommet semble difficile, elle marque certainement un tournant dans la politique française. Ce débat national entre 2 candidats qui aspirent au changement est une invitation pour leurs électeurs respectifs à se retrouver, pour discuter.
Je suis socialiste et je le resterai, j'ai voté pour Ségolène Royal ; j'appelle les électeurs putéoliens de François Bayrou à engager la discussion avec moi et avec tous ceux qui souhaitent faire avancer la France.
Sur l'Europe, sur les réformes institutionnelles, démocratiques et sociales nécessaires pour l'avenir de notre pays, sur les questions économiques et fiscales, sur la dette, sur l'immigration, l'aide au développement, l'environnement... nous pouvons trouver des solutions ensemble.
Christophe


Budget 2007 de la ville de Puteaux (partie 2/3) : rien pour développer le logement social

Voici la suite de la discussion qui s'est tenue au conseil municipal de Puteaux du 30 mars 2007 à l'occasion du vote du budget 2007 de la ville. La conseillère socialiste Nadine Jeanne regrette l'absence de volonté de la majorité municipale UMP pour combattre le logement insalubre. Malgré l'extraordinaire de notre ville, rien dans ce budget de droite n'est prévu pour développer le logement social.


Revue de Presse : "Les Ceccaldi-Raynaud en appel : verdict aujourd'hui" (Le Parisien)

Suite de ma semaine judiciaire. Je retrouve aujourd'hui la députée-maire UMP de Puteaux, Joëlle Ceccaldi-Raynaud, devant la Cour d'appel de Versailles pour le délibéré de la 2e affaire, "Grébert contre Ceccaldi-Raynaud". Le Parisien des Hauts-de-Seine publie ce matin un article sur le sujet :

LA COUR d'appel de Versailles dira, cet après-midi, si elle confirme ou pas la condamnation des Ceccaldi-Raynaud père et fille dans une affaire de diffamation à l'encontre de Christophe Grébert, militant socialiste et créateur du blog Monputeaux.com. L'adjoint au maire et la maire (UMP) de Puteaux avaient fait appel d'une condamnation à 2 500 € d'amende prononcée par le tribunal de Nanterre, en septembre 2006 : Charles avait rédigé un courrier insinuant que Christophe Grébert avait des penchants pédophiles ; Joëlle avait diffusé ce document sur le site Internet de la ville. Deux affaires en cours La phrase litigieuse indiquait que Christophe Grébert « possède la fâcheuse habitude de photographier les enfants et de les approcher sans l'autorisation de leurs parents ».

LA SUITE DANS LE PARISIEN DES HAUTS-DE-SEINE