Nadine Jeanne liste les "victoires de l'opposition en 2006" à Puteaux
samedi 30 décembre 2006
Sur son blog, la conseillère socialiste de Puteaux, Nadine Jeanne, fait le bilan de l'année 2006 et liste les différentes "victoires de l'opposition" putéolienne :
"(..) nous avons obtenu en juillet 2006 la régularisation d'une famille menacée d'expulsion en décembre 2005, le relogement d'une autre famille -dont les membres devaient être relogés dans des foyers séparés- dans un appartement à Bagneux, le relogement d'une maman et de ses deux enfants qui ont dû quitter leur appartement repris par le propriétaire et qui ont été cette fois-ci relogés à Puteaux. Ce sont ces victoires -certes grandes pour les intéressés mais petites pour nous qui voudrions tant faire davantage- qui nous donnent la force de continuer.
(..) nos interpellations réitérées ne sont sans doute pas étrangères au réveil de la municipalité en ce qui concerne la création de places en crèches, les travaux entrepris dans les écoles, la prise en compte du saturnisme dans la seconde OPAH -celle du centre ville- ou encore dans l'ouverture d'un dialogue avec les musulmans pour l'agrandissement de leur lieu de prière. Par ailleurs, nous savons que notre travail sur les prix pratiqués par la municipalité lors des préemptions a permis à nombre de Putéoliens de vendre leur bien à un meilleur prix et nous avons obtenu l'assurance que les fonds de garantie versés à la SOCLIP par les abonnés du Front de Seine seraient bientôt remboursés.
(..) vous disposez d'une opposition à la fois offensive et constructive, qui s'est considérablement renforcée avec l'arrivée en nombre de nouveaux militants et qui ne demande qu'à prendre les commandes pour s'attaquer aux problèmes en profondeur".
Clairement, le bilan de la gauche à Puteaux n'a jamais été aussi positif qu'en cette année 2006. On le doit à la détermination de Nadine Jeanne, mais aussi à l'arrivée de nouveaux militants qui, à l'image d'une part de plus en plus grande de la population, ont définitivement tourné la page ceccaldiste.
Christophe Grébert