Rétrospective de l'année 2005 à Puteaux : de juillet à septembre (3e trimestre)
En 2006 à Puteaux, mettons la vidésurveillance sous surveillance citoyenne

Rétrospective de l'année 2005 à Puteaux : d'octobre à décembre (4e trimestre)

L'année 2005 a été particulièrement animée à Puteaux. Après un 1er, un 2e et un 3e trimestre riches en actualité, voici un résumé des principaux événéments survenus dans notre commune en octobre, novembre et décembre :

Photo250_2En octobre, les médias s'emparent de la "Guerre des Ceccaldi". L'hebdomadaire l'Express sort une édition spéciale sur "les secrets du système Ceccaldi-Raynaud". La Chambre régionale des comptes choisit ce moment pour démarrer une enquête sur la commune.

68261557_055b2d5040_1En novembre, une bombe de la Seconde guerre est neutralisée le long de l'île de Puteaux. Elle avait été découverte dans la Seine, à Paris. Le bras entre Neuilly et Puteaux -éloigné de toute habitation- est choisi pour l'opération de déminage. Tout se passe bien.

Noel_1En décembre, la ville de Puteaux dépense plus de 3 millions d'euros pour les festivités de fin d'année : 1 million d'euros pour les illuminations, 1 million d'euros pour "Puteaux en neige" et 1 million d'euros pour les réceptions à l'Hôtel-de-ville. L'ensemble représente une dépense par foyer putéolien de 150 euros !!! Puteaux ou la "folie des grandeurs" du député-maire Joëlle Ceccaldi-Raynaud !

On retiendra aussi de ce dernier trimestre de l'année 2005 ces quelques faits :

- Joëlle Ceccaldi présente le "palais" des sports. La facture dépasse 30 millions d'euros.
- Election des parents d'élèves dans les écoles de Puteaux : la FCPE gagne 10 sièges,
- L'opposition se mobilise contre le projet de mur sur l'île de Puteaux,
- Insolite : Joëlle Ceccaldi veut faire acheter à la ville des poubelles qui disent merci,
- en novembre, je dénonce la mort lente du centre médico social de Puteaux,
- Insolite : la ville organise une soirée à 750 euros par convive !
- un sans papier putéolien est ménacé d'expulsion. Il est finalement relaché après une manifestation et une pétition,
- en décembre, Gaston Garino et Charles Ceccaldi-Raynaud sont jugés pour dénonciation calomnieuse et complicité.

OUF ! QUELLE ANNÉE !!!

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