Vidéosurveillance à Puteaux : l'aide du conseil général tient toujours (Le Parisien)
dimanche 30 janvier 2005
Le Parisien, dans son édition des Hauts-de-Seine, évoque le billet publié par Nadine Jeanne à propos du projet de vidéosurveillance dans notre commune :
"NADINE JEANNE, conseillère municipale socialiste de Puteaux, a annoncé que le conseil général reportait d'un an le délai de validité de la subvention allouée à la commune de Puteaux pour mettre en place les caméras de vidéosurveillance. La période de validité de cette subvention, votée le 25 octobre 2002, était comprise entre le 1 e r janvier 2003 et le 31 décembre 2004, explique Nadine Jeanne sur son blog (site Internet réactualisé quasi quotidiennement). Mais la délibération du conseil municipal de Puteaux concernant le marché de maîtrise d'oeuvre pour l'installation de la vidéosurveillance n'a été votée que le 16 juillet 2004. Et le démarrage des travaux est prévu pour 2005. Le conseil général a donc accepté de proroger d'un an la durée de validité de cette subvention. Le projet revu à la baisse Le projet de 2002 présenté au conseil municipal comprenait un ensemble de cent une caméras, un PC de supervision situé dans les locaux de la police nationale et un autre situé dans les locaux de la police municipale (avec enregistrement). Les 101 caméras devaient être placées dans des lieux publics : 42 dans des parkings (23 pour le seul parking de l'hôtel de ville !) ; 9 autour de la mairie ; d'autres encore dans les espaces de jeux pour enfants et dans les squares, aux abords des écoles, et dans le quartier Lorieux (6). Il était prévu d'en placer certaines à plusieurs carrefours, quai Dion-Bouton et rond-point des Bergères. Coût : 1,8 M€ (TTC) auxquels il faut ajouter 1,5 M€ (hors taxes) pour la mise en place d'un réseau de fibres optiques. Selon Nadine Jeanne, le projet a été revu à la baisse. Mais la mairie ne livre pour le moment aucune information sur le nombre de caméras et les lieux d'implantation finalement choisis".
(Publié le samedi 29 janvier 2005, dans le Parisien du 92)