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juin 2004

L'audience de MonPuteaux.com en augmentation

Depuis mon interpellation sans motif par la police municipale de Puteaux, l'audience de MonPuteaux.com a fortement augmenté...
En moyenne, ce sont plus de 500 personnes qui visitent chaque jour mon site, selon le compteur d'audience SITE METER.

Le référencement sur GOOGLE s'est aussi considérablement amélioré, depuis cette interpellation stupide : plus de 250 sites en France et dans le monde ont placé un lien vers ma page.

Fruit de son harcèlement à mon encontre, le maire de Puteaux figure aussi désormais en très bonne place sur le principal moteur de recherche du web !


"Je ne suis pas le Ceaucescu du 92 !"

Lors d'une discussion en tête-à-tête avec un élu de l'opposition, un maire UMP d'une commune proche de Puteaux et ayant d'importantes responsabilités au conseil général des Hauts-de-Seine a jugé très insultant que sa ville soit comparée à Puteaux : "je ne suis pas le Ceaucescu du 92 !" s'est-il exclamé devant son interlocuteur fort surpris !
On voit par là qu'au sein même de l'UMP, la réputation de Puteaux est faite. Triste pour notre ville.


Revue de Presse : "Nicolas Sarkozy réunit 1.430 élus" (LE PARISIEN)

Nicolas Sarkozy, ministre de l'Economie et des Finances, mais aussi nouveau président du conseil général des Hauts-de-Seine (après le départ à la retraite de Charles Pasqua), a invité cet après-midi à Nanterre 1.430 élus municipaux pour plancher sur les priorités à mettre en place d'ici à la rentrée prochaine dans le département. L'opposition sera présente : des élus socialistes seront là. En revanche les Verts ont choisi de ne pas venir.

Le Parisien, dans son édition des Hauts-de-Seine, cite le secrétaire départemental des Verts et conseiller municipal de Sèvres, Frédéric Puzin : « Je ne pense pas que la réunion conjointe de centaines d'élus puisse en quoi que ce soit faire avancer les dossiers qui me semblent prioritaires. Nous aspirons à une politique de démocratie réelle qui permettrait aux élus verts, par exemple, de ne pas se faire insulter lors des conseils municipaux comme à Levallois ; aux citoyens de ne plus être exclus des conseils municipaux, comme à Puteaux, et de ne plus faire l'objet de véritables chasses aux sorcières, intimidations voire de voies de fait... »


Quand Puteaux se fait pigeonner

pigeonsLa ville de Puteaux possède depuis l'an dernier 2 pigeonniers. Ceux-ci sont installés l'un résidence Berthelot, sur le haut de Puteaux, l'autre dans la résidence des personnes âgées du 102 boulevard Richard Wallace. Ces pigeonniers sont censés réduire la population des pigeons qui provoquent de nombreuses nuisances. Or, dans un article publié ce soir dans Le Monde, un spécialiste -Philippe Clergeau, écologue, chercheur à l'INRA de Rennes- affirme que ces pigeonniers adoptés par de nombreuses communes ne servent à rien... et qu'au contraire, ils aboutissent à terme à une augmentation de la population de volatiles !

Extrait :

"(..) il est une mesure qui, depuis peu, le met carrément en colère, comme une goutte d'eau ferait déborder une coupe pleine. Une mesure que plusieurs municipalités, soucieuses de contenter leurs habitants, ont décidé de mettre en œuvre, et qu'il estime plus inefficace encore que les précédentes : la construction de pigeonniers. "Le principe serait que les pigeons de la ville viendraient s'y reproduire et que, en ôtant régulièrement leurs œufs, on limiterait l'effectif de la population. Mais nous en savons aujourd'hui assez sur le comportement des pigeons pour écarter cette méthode !", s'insurge-t-il.
A ce jugement sans appel, au moins deux raisons. Tout d'abord, si le pigeonnier attire bien de nouveaux oiseaux, ces derniers ne seront certainement pas des individus possédant déjà un nid dans la ville.
De plus, en ôtant régulièrement leurs œufs, on aboutira rapidement à leur départ : n'ayant pas obtenu de succès de reproduction, ils iront chercher ailleurs - et en ville ! - de meilleurs nichoirs. Tandis que de nouveaux arrivants viendront prendre leur place dans le pigeonnier. "Au total, on aura augmenté, faiblement mais régulièrement, la population globale de pigeons du secteur !", affirme Philippe Clergeau.
Alors, que faire contre ces satanés pigeons ? Une seule et unique chose, que ce connaisseur répète inlassablement à tous les élus qui, régulièrement, lui demandent conseil : cesser de leur fournir graines et friandises, cause la plus directe du maintien et de l'augmentation de leur population".

Rappelons qu'à Puteaux, nos 2 pigeonniers nous ont coûté pour leur réalisation la bagatelle de 50.000 euros... et qu'ils nous coûtent encore chaque année plus de 20.000 euros, pour leur entretien.